Le Marocain
centon
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 | Sujet: Le défouloire !!!!!!!!!!!!!!!!!  Mar 8 Jan - 14:24 | |
| L'actualité vue dune manière décalé La vengeance est un plat qui se mange froid, très froid même. Dans plusieurs livres à paraître (« Cécilia », d'Anne Bitton, « Ruptures » de Yves Derai et Michael Darmon, « La face cachée de l'ex-première dame de France », de Denis Demonpion et Laurent Léger), Cécilia Sarkozy livre quelques anecdoctes chocs sur son court séjour élyséen. Le Nouvel Observateur en publie quelques extraits. En vrac : « Nicolas est un sauteur (…) Un homme qui n'aime personne, pas même ses enfants (…) Il a un côté ridicule, il n'est pas digne, il ne fait pas Président de la République, il a un réel problème de comportement. » Tapisseries et pétasseries Très critique sur son ex-mari et son entourage, le témoignage de Cécilia Sarkozy sonne comme une ultime vengeance, à l'heure où Nicolas Sarkozy s'affiche avec sa nouvelle compagne, Carla Bruni. Pour elle, la politique n'est « qu'un décor de western derrière lequel il n’y a rien ». Celle qui n'a jamais apprécié l'entourage du Chef de l'Etat ne mache plus ses mots : « Son entourage ? Une bande malfaisante (…) de jeunes mecs qui se sont retrouvés gonflés de pouvoir et qui se sont pris pour les princes de Paris ». Elle tacle au passage aussi ses ex-meilleures amies, Mathilde Agostinelli de Prada et Agnès Cromback de Tiffany, « des pétasses fardées et intéressées ». Les femmes du gouvernement ne sont pas épargnées : « Maintenant qu’il n’a plus de first lady, il faut qu’il sorte avec de jolies filles à son bras, habillées en Dior. » « J'ai senti que j'avais un pouvoir sur Kadhafi » Cécilia Sarkozy revient aussi sur l'histoire de sa vie, la libération des infirmières bulgares : « Je ne suis pas passée sur terre pour rien. J’ai sauvé, seule, six vies humaines. (…) Je suis arrivée, je les ai prises, je suis partie, j’ai fait le plus grand casse du siècle: Kadhafi n’avait aucune intention de libérer ces filles ! C’est moi qui ai mené les négociations. Très vite j’ai eu la mainmise sur Kadhafi, j’ai senti que j’avais un pouvoir sur lui ». source : Yabi
Dernière édition par le Mer 9 Jan - 14:15, édité 1 fois | |
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Le Marocain
centon
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| | Sujet: Re: Le défouloire !!!!!!!!!!!!!!!!! Mer 9 Jan - 14:14 | |
| Arnaque ou réalité ??? :
Fort de son nouveau statut, Arash Derambarsh entend désormais « porter la voix numérique du plus grand site social au monde » et « promouvoir la tolérance entre les trois religions monothéistes ». « Cela fait un peu Miss France » reconnaît en plaisantant le jeune homme qui aurait été contacté par « les gens de Harvard » (NDLR : université où Marc Zuckerberg a créé Facebook en février 2004) pour diffuser son message humaniste auprès de l'ensemble des utilisateurs du réseau social.
Le jeune homme de 28 ans, jusqu'à présent blogueur sur Windows Live Spaces sous le pseudonyme de “l'oeil du tigre” mais qui se targe déjà d'avoir sa biographie dans Wikipedia, ne fait toutefois pas l'unanimité. Journaliste spécialisée pour ZDnet, Estelle Dumout n'hésite d'ailleurs pas à qualifier cette élection de “tartufferie” : « 150 000, c'est le nombre de fois que l'application FBook President, développée par la société ClutterMe aurait été téléchargée, selon lui. Le nouveau président lui, aurait recueilli environ 10 000 votes (NDLR : contre 7 000 pour son principal concurrent). Je parle au conditionnel, je ne peux pas vérifier les chiffres : actuellement la page d'accueil de Fbook President indique qu'elle est employée par 3 621 utilisateurs actifs quotidiens » précise la journaliste sur un blog ZDnet.
« Des baltringues jaloux et aigris »
Même scepticisme chez certains membres de Facebook qui ont immédiatement créé un groupe demandant sa destitution. « M. Arash Derambarsh se prétend "président de Facebook". Il a été "élu" par une infime minorité, et via une application tierce . M. Derambarsh est un simple arriviste, un aprenti politicien au parcours peu clair , un parasite médiatique » accuse Laurent Ponce, dont le groupe regroupe déjà près de 100 personnes.
« Ces critiques viennent d'une quinzaine de baltringues jaloux et aigris » nous répond Arash Derambarsh dont la large couverture médiatique semble avoir donné une certaine assurance.
Alors, candidat sérieux ou mythomane ? « C'est un garçon très sympathique, un tantinet trop "people" à mon goût, mais très agréable » nuance Sabine Fillias-Herold, co-fondatrice du mouvement Alternative Libérale dont Arash Derambarsh reste militant pour Courbevoie.
Discret sur sa confession religieuse, le jeune homme dont la famille a fui l'Iran après la révolution islamique de 1979 conclut : « Je suis dégoûté de voir que des groupes Facebook demandant la destruction d'Israël peuvent réunir plus de 150 000 membres. En admettant que cette élection n'ait pas été sérieuse, je préfère tout de même avoir été élu sur un discours qui rassemble que sur un discours haineux. Et tous ceux qui veulent se la raconter, j'accepte de les affronter lors d'un débat public à la télévision », affirme ce jeune Président, dont les méthodes rappellent d'ailleurs celles d'un autre Président d'une République ayant d'ailleurs autant de citoyens que Facebook ne compte désormais de membres … | |
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